« Passer le permis, c’est retourner à l’école, estime Georges. Et franchement, je n’ai plus l’âge. » Pour ceux qui ne le font pas dans la foulée de la terminale, la perspective de potasser le code n’est pas des plus réjouissantes.
« Passer le permis, c’est retourner à l’école, estime Georges. Et franchement, je n’ai plus l’âge. » Pour ceux qui ne le font pas dans la foulée de la terminale, la perspective de potasser le code n’est pas des plus réjouissantes. « Ce sont souvent des personnes qui ont une phobie de l’apprentissage », remarque Stéphane Clerget, pédopsychiatre. Tenter d’obtenir le permis serait revenir à ces temps peu glorieux où les connaissances s’acquéraient dans la douleur. Pour Françoise Kourilsky, psychologue et coach, il est possible d’analyser cette « peur de rater comme symptomatique d’une énorme envie de réussir ». Certains choisissent de ne pas se confronter à l’éventualité d’un échec, qui mettrait à mal une image de soi déjà fragile.
[Extrait du magazine Psychologies]
Nous avons pour tache à l’école de conduite de la Colombette de vous accompagner dans votre apprentissage, de vous rassurer sur vos compétences, sur votre capacité d’apprendre en toute sécurité. Nous avons tous de capacités d’apprentissage que nous ne soupçonnons pas. L’illustration du texte du magazine psychologies nous montre que la peur de l’échec, nous met fréquemment sur un mode d’évitement. Nous le faisons tous à un moment donné de notre vie.
La peur de conduire peu également être la « résonance » d’un événement passé déclencheur d’une peur. La première des peur c’est la peur de la peur elle-même…
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